Du 1er septembre au 30 juin notre musée est fermé aux visiteurs individuels, mais accueille sur rendez-vous (info@museepjredoute.be) les groupes de dix personnes au moins.
Le Musée présente une toute nouvelle scénographie au rez-de-chaussée où sont exceptionnellement présentés les portraits originaux des trois derniers abbés de Saint-Hubert ainsi que le récit de la vie à Saint-Hubert et à Paris des trois frères Redouté. À l’étage, vous redécouvrirez Pierre-Joseph Redouté, les roses et la rosomanie.
...vers une présentation plus large des 18e et 19e siècles à Saint-Hubert, dans une scénographie plus contemporaine. Les premiers changements sont déjà visibles. Venez nous redécouvrir !
L’asbl Musée Pierre-Joseph Redouté (1759-1840), fondée à Saint-Hubert le 7 juin 1984, a pour but de promouvoir la connaissance et le rayonnement du peintre-botaniste, né à Saint-Hubert le 10 juillet 1759, de sa famille et des artistes de son époque qui ont enrichi le patrimoine culturel de la ville de Saint-Hubert, de l’Ardenne et du Luxembourg, ainsi que la conservation de leurs œuvres, de leur esprit et de leurs souvenirs.
En 1987, la ville a mis à sa disposition l’immeuble situé au numéro 11 de la rue Redouté, face à l’emplacement de la maison natale de l’artiste, détruite lors d’un bombardement à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Cet immeuble héberge maintenant le Musée Pierre-Joseph Redouté qui présente en permanence des œuvres originales du « Raphaël des fleurs », des objets qui lui ont appartenu et quelques gravures de son jeune frère, Henri-Joseph.
Le musée accueille également des expositions temporaires.
Le 30 décembre 1861 - 21 ans après le décès du peintre - le Conseil communal de Saint-Hubert décide de faire poser une plaque commémorative sur la maison natale de Pierre-Joseph Redouté, au 21 de la rue du Four, exactement en face du Musée.
Le Musée P.-J. Redouté conserve et expose un portrait de Pierre-Joseph Redouté attribué à Louis-Léopold BOILLY (1761-1845). Cette œuvre n’a jamais été documentée. La publication récente, sous la direction d'Étienne Breton et Pascale Zuber, d’un imposant ouvrage de quelque 1 500 pages, en deux volumes, sur le peintre Boilly a incité Richard Jusseret à effectuer quelques recherches.
La décision de faire ériger, à Saint-Hubert, une fontaine publique destinée à « perpétuer la mémoire d’un de nos compatriotes dont la réputation est européenne » fut prise par le Conseil communal de Saint-Hubert le 27 juillet 1845, soit un peu plus de cinq ans après la mort de Pierre-Joseph Redouté à Paris. Mais il fallut attendre quinze ans pour pouvoir réunir les fonds nécessaires ; les travaux de la fontaine furent réceptionnés le 28 septembre 1860.
